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 Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.

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MessageSujet: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptyDim 20 Déc - 9:26





Sixtine Cali Shield


Caractère
Je suis une petite peste. On ne dirait pas comme ça n’est-ce pas ? Et pourtant c’est le cas. Non pas que je sois insupportable et pimbêche, mais juste que j’adore taquiner autrui. Surtout ceux que j’apprécie. C’est une preuve d’amour originale, à prendre ou à laisser. Par contre, j’ai abusé avec le petite… J’aurais dû dire moyenne… voire même grande, 1m75 vous en dites quoi ? C’est quoi la moyenne de taille par ici ?
Je suis super active et vive, je pense que c’est plutôt obligatoire quand on est chasseur… Autre chose qui va avec le lot je suppose : je suis maladivement curieuse. J’aime découvrir de nouvelles choses et de nouvelles personnes, découvrir les gens et leur histoire. Je suis très optimiste, j’ai toujours un sourire aux lèvres, je m’interdis de pleurer en public et de me plaindre de ma petite vie. Je ne laisse donc pas transparaître mes sentiments facilement, c’est tellement plus simple de les cacher que de devoir en parler. Je suis pas une très grande oratrice, mais bien tout le contraire ! Je ferais souvent des gaffes en ouvrant la bouche, comme ça vous ne serez pas étonnés !
J’adore faire la fête, m’amuser, m’éclater et surtout chasser et faire du sport. Quand je m’ennuie je file m’entraîner à l’arc ou escalader en forêt. Courir, faire de la gym, aller à l’aquaponey, danser, manger… Oui c’est aussi un sport. Et je suis une grosse bouffe, mais ne prend plus un gramme, Hallelujah ! Bref, j’adore m’amuser, m’éclater, j’en ai assez baver comme ça pour me la jouer déprime et blues H24. Certains disent que je m’amuse beaucoup trop et que je devrais faire preuve d’un peu plus de sérieux. Je suis sérieuse ! Mais avec le sourire et une ou deux conneries de sorties par moment. C’est quand même plus sympathique… Puis ceux qui n’aiment pas peuvent passer leur route. Je ne retiens personne. Excepté mon frérot bien sûr.  Je ne me montrerais sérieuse à 100% que lorsqu’on s’en prendra à mes proches ou ma famille. Ça je n’aime pas, du tout.
Je n’ai pas toujours été ainsi… Au contraire, quand j’étais enfant, j’étais beaucoup plus faible aussi bien physiquement que mentalement, timide, effacée, silencieuse et dépendant continuellement sur mon grand-frère. Mais on a tous cette période, dans sa vie, qui nous fait changer du tout au tout. Pas vous ? Vous en faites pas, ça viendra, vous êtes pas encore crevé après tout.
Je vous spoil pas ma propre histoire, mais il s’est passé quelque chose (suspens intense et intenable n’est-ce pas ? ou pas d’ailleurs…) qui a fait que je suis devenue beaucoup plus dure avec moi-même, m’interdisant de pleurnicher, de me laisser décourager à la moindre faiblesse et de perpétuellement compter sur d’autres pour me sortir des difficultés. J’ai juste ouvert les yeux, décidé de changer, de me secouer et c’est ce qui m’a permis d’arriver à ce que je suis aujourd’hui. Et de perdre une taille de jean. C’est pas anodin quand même, fallait que je le calle quelque part !
Voilà tout ce qui me vient pour l’instant à l’esprit. Bien sûr, reste à vous de me découvrir mieux si on a l’occasion de se croiser en ville !


Histoire
Voilà quelques heures qu’elle est penchée sur sa feuille, la mine de son crayon tapotant au rythme de la musique dans ses oreilles. Premier album de Nirvana en cours de lecture. Feuille toujours blanche comme les draps de lin qui drapaient son lit quand elle était plus jeune. Son regard fixe les petits points d’argile laissés derrière chaque pression de la mine du crayon de bois. Petites taches noires venant salir sa page. Elle se tient la tête, cette dernière étant vide. Elle soupire :
« Faut vraiment que je le fasse ? » Finit-elle par dire en relevant la tête pour jeter un regard de pied à son frère, tranquillement installé dans un canapé, une bière fraiche à la main, histoire de bien la dégoûté.
« Ouep. »
« Ouep ? C’est tout ? Pas plus d’arguments Alan ? C’est toi qui voulait que je reprenne les études et là quedal ? » Déballe-t-elle avec une petite moue mécontente.
« Ouep. » Ajoute-t-il, la défiant d’un regard amusé avant de boire une nouvelle gorgée de sa bière fraîche. Elle lève les yeux au ciel, décidément il réussira toujours à la fatiguer.
« ça se voit bien que t’as jamais eu à rédiger une rédaction sur ‘un regard critique de votre existence’ ou je ne sais quel est l’appellation exacte de ce devoir… » Grogna-t-elle.
« Ouep ! » Continua-t-il avec bien plus d’entrain cette fois. Elle lui jette un regard glacial avant de froisser sa page et de la lui lancer à la figure. Attaque inutile, on parle d’Alan. Il la réceptionna bien avant qu’elle n’atteigne son joli petit minois.
« Tu m’insupportes tu sais ? »
« Moi aussi je t’aime Six. » Dit-il en se relevant, défroissant la page blanche puis la déposant de nouveau devant sa petite sœur. « Ecris, ça te fera du bien. Dis tout et tu te sentiras mieux. »
Il lui ébouriffe les cheveux, signe d’affection qu’il a toujours eu à l’égard de sa petite sœur. Elle s’y est habituée, elle apprécie ce geste si simple et qui pourtant réussi toujours à lui remonter le moral. N’empêche que ce soir, elle est d’humeur bougonne.
« Plus facile à dire qu’à faire. » Grommèle-t-elle, aplatissant malgré tout la feuille blanche devant elle.
« Je sais que tu vas y arriver. » L’encourage-t-il une dernière fois avant de sortir de la pièce, sans donner de prétexte, mais Six savait que c’était pour lui laisser son intimité. Elle avait tant à raconter, et ça ne serait pas sans émotion, ça il le savait. « Avec la famille qu’on a et tout ce qu’il s’est passé, tu as de quoi faire. Mais n’oublie pas, ne ressasse pas que le négatif Six, il n’y a pas eu que ça… » Il affiche un sourire triste avant de quitter la pièce pour sortir sur le porche de cette nouvelle petite maison où ils viennent tout juste de s’installer.
Le silence se fait, Six regarde autour d’elle. Des cartons et encore des cartons. Cette maison qui lui est encore étrangère. Cette ville qui ne lui inspire pas grand-chose et où elle va devoir faire sa vie maintenant. Ou plutôt refaire. Elle inspire longuement, remet d’aplomb son casque sur ses oreilles, monte le son et commence à écrire ses premiers mots.


Si ça ne tenait qu’à moi, je décrirais ma vie comme une montagne russe infernale, du genre de celles de Six Flags Great Adventure, mais en pas finie. Il y a eu des hauts, des bas, des loopings, des chutes, des frissons, des rires, des pleurs et oui aussi quelques dégueulis. Commencez pas à vous froissez, vous voulez que je vous raconte ma vie, la voilà, c’est pas fou, y’a pire, y’a mieux, mais je ne suis pas une reine de la rédaction. Si ça ne tenait qu’à moi, je me serais contentée de mes deux premières phrases seulement, mais apparemment ça fait du bien d’écrire. Je vous redirais ça quand j’en serai venu à bout.

Je suis la deuxième de la famille a avoir vu le jour dans ce qui peut sembler, à première vue, être une ferme à proximité de la forêt d’Akatarawa, pas loin de Wellington, capitale de la Nouvelle-Zélande. Je dis deuxième parce que si je veux vous conter mon histoire je ne peux pas commencer sans parler de mon grand-frère, Alan. Grand, c’est le cas de le dire, 1m90 le bestiau ! Il peut effrayer de par sa taille, mais croyez-moi, c’est un vrai nounours, du moins, à mes yeux. Il a toujours été là pour moi, même si à ma naissance c’était loin d’être le cas. Il avait sept ans quand je suis née, l’âge de raison… Mais bien sûr ! ça m’a toujours fait rire l’image du grand frère content d’avoir une petite sœur à protéger dès la naissance. Ça n’a pas été son cas, quand je suis venue au monde, il a cru à une blague. Pourtant ce n’était pas faute d’essayer de lui faire comprendre ce qui l’attendait, notre mère a fait tous les efforts possibles et imaginables pour lui faire comprendre qu’il allait avoir une petite sœur. Histoires, explications, contes et moult discussions, en vain. Le petit blondinet continuait de croire à une blague. Et le 27 décembre (ne vous en faites pas je vais pas vous demander de retenir cette fichue date), peu de temps après Noël. Cadeau ! Une petite sœur de déballée !
« Mais… Mais… J’ai été sage Maman ! Pourquoi y’a ça ? » Se plaignait-il de sa voix nasillarde d’enfant, me pointant de son petit doigt rose. Oui, j’étais le ‘ça’ en question. « Puis c'est tout fripé... » Tant d’amour !
« Alan, ce n’est pas la question, voyons ! Maintenant tu as une petite sœur, c’est bien tu vas pouvoir jouer avec, regarde comme elle est mignonne ! » S’amusait ma mère, ne pouvant me lâcher des yeux, alors qu’Alan m’accordait une grimace dégoûté et mécontente. Pour ma part, j’étais dans un dodo profond, oui je vous raconte pas un souvenir là, mais plutôt ce qu’on m’a raconté, faut pas rêvé, je n’avais que quelques heures de vie à mon compte, j’ai complètement zappé d’enregistrer ces souvenirs, je ne suis pas une IA. C’est ma mère qui n’a cessé de me le raconter, à chaque anniversaire j’avais le droit au récit de ma naissance. Et je ne m’en lassais jamais, me moquant de mon frérot avec grande joie.
Ma mère, Johanna, qu’est-ce que je tenais à elle… Oui, vous aurez remarqué l’utilisation du passé, l’explication viendra, mais heureusement pas de sitôt. Enfin heureusement, je ne sais pas, parce qu’en attendant, nous avons pu tisser des liens très fusionnels. Elle comptait plus que tout pour moi. Mon ancre, ma confidente, ma machine à câlins, bisous et sourires. Une mère en or. Vraiment. Ce qui a rendu sa perte d’autant plus complexe. Elle a toujours été là pour moi, elle a toujours été là pour me protéger. De lui.
Mon père.
« Tu vas surtout pouvoir m’aider à lui enseigner tout ce que j’essaie de faire entrer dans ton petit crâne Alan. » Joseph Shield. Le paternel qui ressemble plus à un géniteur qu’à un papa attentionné.
« Il n’a que sept ans Joseph, laisse-le vivre. » Répondit froidement ma mère. Ça, c’est Alan qui me l’a raconté. Ma mère évitait toujours de parler de ça. Après tout, aux yeux de notre père, nous étions certes ses enfants, mais pas que. Ses petits soldats, ses apprentis, son héritage. La descendance des Shield. Tout ce qui l’importait en quelques sortes.
Les Shield… Famille de chasseurs depuis je ne sais combien de générations. Ça commence à dater, mais on est encore vivants… Et on n’a pas renié l’héritage familial, la chasse aux êtres surnaturels. Oui, rien que ça. On me dit de raconter ma vie, je le fais, ça vous plaît tant mieux, vous n’y croyez pas, tant pis. Je vais pas refaire votre éducation, critiquez pas la mienne, très cher professeur dont j’ai oublié le nom.
J’ai grandi dans une famille de chasseurs qui n’étaient pas tous les plus sympathiques qui soient. Des extrémistes aux je-m’en-foutistes rejetés par l’assemblée, difficile de grandir comme tout le monde dans ce bordel ambulant. La plupart avaient été forgés pour haïr les êtres surnaturels, la majorité a adopté cette manière de penser, d’autres ont refusés, lutés et on finit par se tailler. Ce n’est que par le biais de ma mère que j’ai pu en rencontrer certain, notamment ma tante, Charlie, petite sœur de mon père, qui était toujours chasseuse, mais pas aussi dénuée d’humanité que le reste des Shield. Ma mère n’était pas comme ça non plus, mais venant elle aussi d’une lignée de chasseurs, la fusion des deux familles important beaucoup, les Shield fermaient les yeux sur sa manière de se comporter.
Oui, le mariage de mes parents était arrangé, mais ils ont été amoureux. Ma mère me l’a tant certifié, puis ça se voyait qu’elle était la seule à avoir un tant soit peu d’influence sur notre père. Il tenait à elle, même s’il ne savait pas le montrer. Il n’a jamais été un grand sentimental, même envers nous. C’est pour ça la remarque sur le pas vraiment papa attentionné. C’était un homme très froid et dur. Il a été élevé pour l’être faut l’excuser un peu. Mais pas trop non plus, la suite de mon histoire vous expliquera pourquoi.

Six pose son crayon et fait craquer ses doigts. Elle ne pensait pas avoir à écrire autant… Elle n’a pas l’âme d’une grande écrivaine et ça se voit par le côté brouillon de ses idées et de son avancée mais elle s’en moque. Elle écrit les choses telles qu’elles lui viennent à l’esprit. Elle se dit que c’est ce qu’il y a de mieux, si elle y réfléchit trop, alors elle déclarera forfait et effacera tout pour garder que ses deux premières lignes. Et alors elle se taperait un joli F. Mais surtout de jolies remarques de son cher frère. Elle s’étire, taille la mine de son crayon avant de reposer de nouveau la pointe sur la page plus si blanche que ça.

Bref, je n’ai pas grandi de la même manière que tout le monde, mais comme une fille de chasseur. Dédiée à poursuivre les mêmes buts que mes prédécesseurs. Et j’étais loin d’exceller en la matière. De nature plutôt fragile et timide (à cette époque) je me faisais plus engueuler que féliciter. Par le padre bien sûr. Ma mère était plus à me rassurer et me consoler. La partie théorie était bien plus simple pour moi que la partie physique. Ça me passionnait, vraiment, m’intéressait et donc j’enregistrais de suite. Mais j’éprouvais grande difficulté à m’améliorer physiquement, bien que plus développée qu’une enfant de mon âge, ce n’était pas suffisant. Tout cela simplement parce qu’au fond, je n’en avais pas l’envie. Je n’étais pas heureuse comme ça. Plus je grandissais et plus j’en avais assez qu’on me force à devenir quelqu’un qu’on choisissait pour moi, sans pour autant avoir la force de caractère pour m’y opposer et le déclarer haut et fort .
Mais ce qui m’épuisait le plus était de devoir haïr les êtres surnaturels du seul fait de leur nature et pas de ce qu’ils étaient au fond. Selon l’enseignement de mon paternel, tout être surnaturel est menace et mal. Mais, qu’est-ce que le bien et le mal ? N’est-ce pas à chacun de nous de le déterminer ? Après tout, n’existe-t-il pas autant de vérité qu’il n’existe de personnes ? C’est ce que je pensais, en silence, encore une fois, sans oser contredire mon professeur qui me forgeait à sa manière, telle qu’il désirait que sa descendante soit. Une machine de guerre. Seul Alan parvenait à le dire, car il pensait la même chose que moi. Excellent aussi bien en pratique qu’en théorie, il refusait d’être le mouton de nos prédécesseurs, de leur obéir au doigt et à l’œil, sans pouvoir être lui. Combien de fois les voix de mon frère et de mon père se sont élevées tant ils n’étaient pas d’accord à ce sujet ? J’ai bien rapidement arrêté de compter. Alan avait de la chance. Lui, au moins, n’avait pas peur de notre père. Ce-dernier m’effrayait par sa violence et sa froideur. Jamais je n’ai voulu devenir comme lui.
Je ne me sentais bien seulement lorsqu’il était absent, quand seuls mon frère, ma mère et moi nous retrouvions chez nous, pouvant alors véritablement vivre. Mais aussi lorsque je sortais de cette demeure emplie de tension pour aller en cours. Là aussi, j’y étais timide et plus d’une fois j’ai souffert d’intimidation et de harcèlement, plus verbaux que physiques. Cible facile, pourquoi s’en priver ? C’est ainsi que j’ai rencontré Raven. Celle qui deviendrait bien rapidement ma plus précieuse amie. Caractère trempé depuis toujours, elle n’a jamais supporté que nos petits camarades s’allient tous contre moi, les traitant de lâches et prenant ma défense, même si elle risquait d’être traînée dans le même bateau que moi. J’avais beau l’en prévenir, elle ne cessait pas pour autant.
« Je préfère largement rester avec toi qu’avec des pourris ridicules tels que ! » M’avait-elle dit avec un clin d’œil. Depuis, nous sommes devenues inséparables.
Les années passèrent, me liant d’autant plus à ma mère, mon frère et Raven, j’avais mon petit cocon. A l’inverse, je m’éloignais de plus en plus de mon père qui ne trouvait que reproche sur reproche à m’accorder. Sa colère me tannait, aspirant toute ma motivation. Pourquoi restions-nous avec tel tyran ? Tout simplement parce que jamais, ô grand jamais, il ne nous aurait laissé lui filer entre les doigts si facilement.
Puis, vint ce jour maudit où notre vie allait prendre une tout autre tournure. Où j’allais changer, une première fois.
Alan et notre père étaient partis en chasse ensemble dans la forêt d’Akatarawa, traquant depuis des semaines des loups intenables ne cessant de semer le trouble et de commettre des meurtres. Nous avions pour ordre, ma mère et moi-même, de rester sagement chez nous, pour ne pas nous mettre en danger. Oui, machiste en plus. Mais ce soir-là, je fis ma têtue.
« S’il te plaît Maman ! Il n’en saura rien !! On a jamais pu aller voir les feux d’artifices !! Il ne reviendra que demain matin ! Allé ! » Je n’arrêtais pas d’insister. J’en rêvais depuis des années et à 13 ans je n’avais toujours pas pu assister au spectacle annuel qui se déroulait en ville.
« Six, je ne pense vraiment pas que ce soit raisonnable tu sais… » Me répondit, hésitante, ma mère, tracassée par cette chasse qui traînait bien trop à son goût.
« Pff t’es juste abrutie par sa manière de penser ! » Bougonnais-je froidement, la blessant par la même occasion, les yeux embués de frustration. Qu’est-ce que j’ai pu être con. Je me déteste rien que d’y repenser. Le silence tarda un instant, pesant, intensifiant l’atmosphère désagréable qui régnait dans notre salon. Puis un soupir.
« Bon d’accord… Mais juste une heure ! » Je lui sautais au cou, heureuse et approuvant vivement, promettant qu’on ne tarderait pas. Si seulement elle n’avait pas cédé à me faire plaisir…
Nous nous sommes rendues en ville, chantonnant en cœur les chansons qui sortaient du lecteur-cd de notre auto. A cet instant, nous ne nous préoccupions pas, profitant juste de notre moment de tranquillité et de complicité mère-fille. Le centre était bondé, c’est pourquoi nous avons été forcées de nous garer si loin. C’est pourquoi nous avons traversé les rues désertes encore si éloignées du lieu de fête. C’est pourquoi personne n’a entendu nos cris et les pas précipités de notre fuite lorsqu’un loup au regard mauvais bloqua notre route. Ma mère m’avait attrapé la main, mes phalanges étaient si blanches à force de serrer sa main. Nous appelions à l’aide, en vain. Nous tentions de fuir, mais le loup se jouait de nous, bien plus rapide.

Six serra un peu plus sa prise sur son crayon sans s’en rendre compte, elle sentait son cœur s’emballer de peur face à ce qu’elle était en train d’écrire, elle se sentait pâlir, continuant d’écrire alors que son regard absent revoyait la scène qui l’a hante depuis tant d’années.

Je n’ai pas su la protéger. Je n’ai rien pu faire. J’étais trop faible. Inutile. Un fardeau qui a ôté la vie à ma mère. Ce loup, il faisait partit de la meute que chassaient Alan et mon père. Ce loup, il voulait se venger et nous avait traquées jusqu’ici. Ce loup avait un regard meurtrier, assoiffé de sang et de désir de vengeance. L’Alpha.
Il s’élança, son but étant de me sauter à la gorge. Je sentis une vive douleur dans l’épaule sans pour autant voir ma mère me projeter sur le côté pour me dévier de sa trajectoire, prenant ma place. Je le remarquais avec horreur en me redressant tremblante, les cris de ma mère déchirant la nuit alors que le premier artifice était tiré dans les airs. Un jet de lumière fendant le ciel pour éclater en millier d’étincelles, éclairant d’une lumière vive l’horreur qui se déroulait sous mes yeux. Le sang gicla, sa vue et son odeur m’effrayèrent de plus belle alors que je restais immobile, inapte à faire le moindre geste pouvant aider ma mère. Il était déjà trop tard, ses cris avaient cessés et son regard écarquillé par la peur restait posé sur moi tandis que la bête s’acharnait contre sa proie. Ma mère.
« M-Maman… ? » Couinais-je d’une voix brisée sans prêter attention au loup qui se détournait du cadavre qui gisait à ses pattes. Je n’arrivais pas à le regarder, je n’entendais même pas les bruits du feu d’artifice, n’arrivant pas à émettre d’autre son que cette plainte pathétique et inutile. Il allait me tuer. Il allait s’élancer. Le coup de feu me fit sursauter. Fort et résonnant dans mes tympans, m’assourdissant. Le loup valsa suite au choc, grognant de mécontentement. Les coups se poursuivirent alors que je me recroquevillais, j’allais pour essuyer mes larmes, sentant mes mains humides. Rouges de sang.
Alan m’attrapa et m’éloigna du corps de notre mère, pâle comme jamais. Il me parlait mais je ne l’entendais pas. Ils avaient traqué le loup jusqu’ici, mais il avait été plus rapide qu’eux. Lui et notre père. Ce-dernier fut violemment éloigné de moi et ce ne fut plus le visage meurtri d’inquiétude et de peine de mon frère qui noya mon regard mais celui noir de rage de mon père.
« Qu’est-ce que tu as fait ? Pourquoi n’êtes-vous pas à la maison ? Pourquoi tu n’as rien fait ? » Je pleurais de plus belle, sa voix dure avait réussi à se frayer un chemin à travers l’assourdissement de mon ouïe, seule chose que je n’aurai jamais voulu entendre. J’ouvrais la bouche sans parvenir à émettre le moindre son. Il me serrait les bras avec une telle force que je me sentais suffoquer.
« Cesse de pleurer Sixtine ! » M’hurla-t-il. Je fermais ma bouche, le fixant, lisant dans son regard sa haine, sa colère, à quel point il me jugeait. Alors mes larmes cessèrent.

Une larme roula le long de la joue de la jeune fille, s’arrêtant une seconde à son menton avant de tomber et de venir mouiller sa feuille. Elle secoua la tête, ne s’étant même pas rendue compte de son état. Depuis combien de temps n’avait-elle pas pleuré ? Elle n’aurait jamais pensé que l’écrire lui ferait ressentir autant… Elle se frotta frénétiquement les yeux, avant d’inspirer longuement et de reprendre.

« Bravo Sixtine. Tu t’es tellement améliorée… » Un sourire fier étirait les lèvres de mon père. Quatre ans avaient passé. Quatre ans pendant lesquels je n’ai plus du tout été la même qu’autrefois. Me poussant à bout, reniant toutes mes limites, animée par cette haine à l’égard de cette faiblesse qui ne m’a jamais rien apporté de plus que du malheur. De suite, je ressemblais bien plus à mon père. Froide, silencieuse, dure, déterminée, directe et pas la moindre once d’humour. Aussi ennuyeuse qu’une page blanche. Je peux me moquer maintenant, mais à cette époque, ça n’avait rien d’amusant. Bien au contraire.
Je ne riais plus, je ne souriais plus. J’en arrivais même à m’engueuler avec Alan et Raven, les seuls qui voyaient à quel point j’étais ravagée. Alan tentait sans relâche à calmer mon père, à l’empêcher d’intensifier ma culpabilité sur laquelle il jouait comme jamais. Raven tentait de me réconforter, de me ramener à celle que j’étais. Sans succès.
Je n’étais plus aussi studieuse, je n’avais plus rien de la petite étudiante silencieuse et timide, rougissant et baissant les yeux à la moindre remarque. Mon regard glacial de cette époque faisait taire les autres, ils ne m’embêtaient plus, ils m’évitaient. Je passais bien plus de temps à m’entraîner qu’à étudier. Il m’arrivait de traquer, de chasser et de tuer. Ça aurait pu continuer de la sorte longtemps, sans que je ne me réveille. Jusqu’à ce jour.

« Oui Six, je ne suis pas humaine… » Raven me regardait, un sourire doux au visage. La veille, sur le bureau de mon père, j’avais trouvé la photo de mon amie. Il enquêtait sur elle et sa famille. Elle n’était pas dans ses bons papiers… Pourtant, quel mal peut faire une banshee ? Pourquoi lui faire du mal à elle ? Son amie ?
Ce fut la première fois depuis quatre ans que je pleurais. J’avais perdu ma mère, j’avais voulu devenir plus forte, réparer mes erreurs, mais je m’étais perdue dans ma culpabilité et j’étais devenue ce que je détestais. J’étais devenue ce que mon père voulait de moi. Une machine à tuer, une chasseuse assassinant les êtres surnaturels simplement pour leur particularité, ne jugeant même plus de par leurs faits. Et je m’en voulais d’autant plus pour ça. J’avais été d’autant plus faible que je ne l’étais déjà avant la mort de ma mère. C’était insupportable.
Il m’aura fallu du temps pour m’en rendre compte. Quatre années gâchées. Quatre années pour enfin me réveiller. Quatre années pour enfin m’ouvrir à mon amie et mon frère. Quatre années pour enfin trouver le courage de me reprendre en main et surtout, de tenir tête à mon paternel, car il n’allait certainement pas accepter cette prise de conscience avec grande joie… Bien au contraire… Les voix s’élevèrent, mais cette voix, ce ne fut pas simplement celles d’Alan et de notre paternel, il y eut aussi la mienne. J’avais enfin trouvé le courage de dire ce que je pensais. J’en avais assez de me cacher, de me taire, d’accepter sagement et ça ne lui plaisait pas du tout.
Je pensais que jamais ça n’arrêterait. Jusqu’à ce fameux matin. Je me réveillais après peu d’heures de sommeil pour trouver Alan dans l’entrée, du sang sur ses mains et son haut. J’eus peur pour lui et me précipitais pour vérifier où il était blessé, mais rien.
« Il est mort Six. » Je le fixais d’abord sans comprendre, jusqu’à ce que son regard complète ses dires. Notre père n’était plus. Accident de chasse durant la nuit. Alan avait retrouvé le corps de notre père dans un sale état.

Sixtine se redressa, sourcils froncés en repensant à la mort de son père qui restait encore un mystère pour elle. Alan avait toujours été très vague. Comment un chasseur tel que lui aurait pu être trompé et tué si facilement ? Surtout vu son état d’énervement de l’époque…
« Tu ne m’as jamais dit qu’est-ce qui avait attaqué papa… » Commença la jeune fille en se tournant sur sa chaise pour découvrir la pièce vide. Elle fit une mine exaspérée. « J’suis con. Vraiment. » Elle était tellement dans son récit qu’elle en avait oublié que son frère avait quitté la pièce un peu plus tôt. Elle lui demanderait plus tard, tant pis…

Après la mort de notre père, nous nous sommes retrouvés tous les deux, Alan et  moi. Il était majeur et pus endosser le rôle de mon tuteur ce qui n’était pas pour me déplaire même si cela impliquait qu’il me force à reprendre les cours. Oui, c’est aussi de son fait l’idée de l’université… On voyageait beaucoup, il m’aida à me remettre de mes quatre années plutôt sombre, faisant de moi ce que je considère être une bonne chasseuse, du moins une qui a de la jugeote et qui ne shoote pas tout ce qui bouge.
On voyagea beaucoup ensemble. Puis, nos traques nous menèrent hors de la Nouvelle-Zélande, il y a de ça deux ans. Nous prîmes la direction de l’Asie y passant quelques temps, puis un peu moins en Europe pour finir par atterrir aux Etats-Unis. Nous avions besoin de bouger, de voir du monde, de profiter de notre liberté, d’oublier un peu, de respirer et d’être ensemble.
Comment on a fini ici ? C’est bien simple, la chronique du parfait petit chasseur a toujours en Une cette ville, faut dire qu’on n’a pas l’air de s’y ennuyer… Plus sérieusement, nous cherchions un endroit où nous poser, môssieur mon frère bien décidé à me faire m’inscrire et finir mes études, pour une fois. Aux alentours de notre dernière résidence, il n’y avait que Beacon Hill qui acceptait ma candidature…  Puis, là-bas, on ne se serait pas retrouvé seuls. C’est là qu’est installée notre tante. Charlie.

Sixtine eut un petit rire en écrivant cette dernière phrase. Au final, elle n’était pas mécontente de ce choix de destination, elle sentait qu’elle pouvait se plaire ici… Elle regarda le tas de feuille s’entassant à ses côtés. Elle s’étira et les attrapa pour rejoindre Alan.
« Quoi ?! Coucher de soleil ?! Mais il est quelle heure ?! » S’exclama-t-elle en sortant le rejoindre sur le porche de leur nouvelle petite maison.
« ça fait des heures que j’attends sagement ici pour te laisser écrire tranquille, j’espère que t’as pas pioncé sur ta feuille tout du long sinon je te jure je vais t-… » Elle lui secoua la flopée de feuille parsemée de son écriture sous le nez.
« Excuse-moi, tu disais ? » Un petit sourire malicieux aux lèvres avant de s’asseoir aux côtés de son frère qui attrapa les feuilles impressionné par sa sœur sur ce coup. «  Tu peux me relire ? » Dit-elle en calant sa tête contre l’épaule de son frère, appréciant d’avoir cette épaule sur laquelle elle pourrait toujours se reposer…
« Bien sûr… » Il commença sa lecture en silence alors que Sixtine fermait lentement les yeux, épuisée.
La nuit assombrissait lentement le ciel, Sixtine dormait paisiblement sur l’épaule de son frère. Alan, quant à lui, continuait sa lecture, il était passé par maintes expressions depuis le début des écrits de sa sœur. Mais d’un coup son regard se fit dur et bien sombre. Il lisait la mort de leur père. Il revit la scène, jamais il n’oubliera.

« C’était pour te protéger Six… Il ne pouvait pas continuer de te détruire… » Chuchota-t-il en caressant tendrement le visage de sa sœur assoupie. La voyant ainsi apaisée chassant les images qui lui étaient revenues en tête. Celles de son premier meurtre.

Quelques jours plus tard, Sixtine rentrait de sa journée de cours.

« Alors ? Tu as eu combien ? C’était bien aujourd’hui les résultats non ? » Questionna Alan en voyant sa sœur.
« Ouep ! J’ai eu un F ! »
« Un quoi ?! Avec tout ce que t’as écris, même s’il en croit pas un mot, il aurait pu noter la créativité non ? »
« Je ne lui ai pas donné ce que j’ai écris, je l’ai brûlé. A la place je lui ai fait un Draw my life. Il a pas compris et apparemment je dessine mal d’après son commentaire. » Sixtine affichait une mine boudeuse, alors qu’Alan se moquait d’elle avant de lui ébouriffer les cheveux. Elle afficha un sourire. Elle est heureuse maintenant. On ne lui arrachera pas de sitôt son nouveau petit bonheur…

Who I Am

Je me nomme Sixtine Cali Shield et j'ai 23 ans. Je suis chasseuse et je suis célibataire, mais je vous détaillerai ça plus tard. Et ma tête (comme elle te plait), c'est celle de Jennifer Lawrence, de ... faut vraiment que je vous dise d'où qu'elle vient ?!, me la vole pas j'y tiens !



And ...


Race: Chasseuse


Behind

Vous pouvez m'appeller Zazou ou Finnou ou autre et j'ai ... mental ou physique ? J'aime trop et je déteste rien. J'écris depuis que j'ai 3,5ans +/- même si ça n'avait pas de sens, et j'ai connu le forum par le biais d'internet, je cherche depuis plusieurs mois un forum Teen Wolf, celui là m'a semblé sympa alors je teste.



© Halloween



Dernière édition par Sixtine C. Shield le Jeu 7 Jan - 15:17, édité 12 fois
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MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptyDim 20 Déc - 9:47

Shield *Q*

Humm Je te souhaite la bienvenue ici
et bon courage pour ta fiche Smile
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Lydia Martin
Lydia Martin
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Localisation : San Francisco
MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptyDim 20 Déc - 9:58

Bienvenue à toi! :coeur2:

Laisse moi te dire qu'il s'agit d'un très bon choix d'avatar! :3
Je te souhaite bonne chance pour ta fiche et si tu as le moindre problème, n'hésite pas à te tourner vers le Staff! Nous sommes là pour t'aider!

Lydia.
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MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptyDim 20 Déc - 11:18

Merci beaucoup à vous deux love
Je n'hésiterai pas Lydia !
J'essaie d'avancer aujourd'hui un maximum !
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MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptyDim 20 Déc - 11:21

Bienvenue à toi mon petit avec ce splendide avatar ! :coeur3:

Impatiente de voir ce que tu nous prépare avec cette jolie bouille et je te souhaite d'ailleurs bonne chance dans la rédaction de ta fiche !! Et comme l'a dit la splendide jeune femme plus haut *pan* N'hésite pas à venir harceler le staff en cas de besoin ! ;3
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MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptyDim 20 Déc - 11:25

Merci Luigi !
Je vais bien finir par venir vous embêter si vous insistez de la sorte héhé !
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Peitho Figueroa
Peitho Figueroa
Succube
Localisation : Entre tes draps
MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptyDim 20 Déc - 12:33

Bienvenue sur le forum, et bon courage pour ta fiche **
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MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptyDim 20 Déc - 17:21

Bienvenue ici miss
Et bon courage pour ta fiche Smile
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MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptyLun 21 Déc - 0:13

Merci à vous deux !
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Lydia Martin
Lydia Martin
Banshee
Localisation : San Francisco
MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptyMar 29 Déc - 18:57

Je viens aux nouvelles!
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MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptyMer 30 Déc - 16:05

Hey !! Désolée de ne pas avoir donné des nouvelles plus tôt, j'étais en campagne profonde pour Noël avec un très mauvais accès internet (j'ai pu me connecter, mais j'ai été virée avant de pouvoir poster mon mot). Là je rentre sur la Capitale et je vais continuer mon histoire pendant le trajet en espérant pouvoir poster le tout dans la soirée ou la nuit !!

Encore désolée !
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Lydia Martin
Lydia Martin
Banshee
Localisation : San Francisco
MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptyMer 30 Déc - 19:33

Y'a pas de soucis ma belle, tu as encore une semaine devant toi pour tout finir! ♥
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Luka Fucale
Luka Fucale
Oméga
Localisation : Dans un lycée ou DJ
MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptyJeu 31 Déc - 2:06

Bienvenue a toi
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http://wild-land.forumactif.org
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MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptySam 2 Jan - 20:31

Merci Luka !

News :
Mon histoire avance, mais c'est très brouillon et pas fini alors je revoie ça dans la nuit et demain pour la poster le plus rapidement possible !


News bis le 06/01:
Je passe en speed avant d'aller au taf ! J'ai presque fini l'histoire, je peaufine dès que je rentre et poste dans la soirée la totalité !

Fiche terminée.
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Lydia Martin
Lydia Martin
Banshee
Localisation : San Francisco
MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. EmptyJeu 7 Jan - 18:53

Congrat's !
T'es validé !  



WELCOME


Bravo à toi! Tu as fini ta fiche! Ton personnage peut désormais se mêler aux autres, chanter, danser, parler tout simplement. Tu peux désormais te rendre à la mairie pour y remplir les quelques formulaires proposés. Histoire que tu ne sois pas à la rue ou au chômage, enfin si tu as l'âge de travailler! De plus, il est important de recenser ton avatar pour qu'on n'oublie pas ta petite frimousse et qu'on n'essaye pas de te la piquer, il ne manquerait plus que ça! Cette étape passée, il ne te restera plus qu'à te diriger vers les fiches de liens, tu pourras y poster la tienne, chose qui facilitera ton intégration dans le forum et qui te permettra d'échanger plus facilement avec les autres joueurs. Si tu as peur de te perdre dans les RP's, il peut t'être utile de te créer un carnet de bord!

Liens Pratiques:

Bottin des Avatars
Fiches de Liens
Carnets de Bord
Demande Logement
Liste des métiers

code (c) crackle bones


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MessageSujet: Re: Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head.   Six - Anytime you're away from your home hunting, it messes with your head. Empty

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