Commençons par un bon départ

(Arthur Doyle) ▽ Life is infinity stranger than anything the mind could ivvent

J’avais eu pas mal de temps pour chasser.  Les professeurs à l’université n’avaient pas trop donné de travail cette semaine. Les fêtes s’étaient fait rare à cause d’une stupide guerre sociale entre des élèves. J’avais donc seulement mon boulot à mi-temps à la piscine et la chasse pour m’occuper.  J’avais entendu que des nouveaux chasseurs étaient arrivés alors qu’on comptait au moins deux Alphas en ville. Je n’avais pas pues trouver le nom d’un des chasseurs mais un autre oui. Un membre de la chère famille de Morangier. C’était une très bonne famille de chasseur. Ma famille, les Diaz, était un peu connue mais rien comparée au de Morangier. Après tout, les Diaz n’ont jamais cherché la célébrité et je n’étais pas en très bon terme avec elle. Je n’avais pas envie d’être jugée par rapport à ma famille.

J’avais réussis à trouver en rendez vous avec de Morangier. Alexandre de Morangier. J’avais eu de mal à trouver une tenue. Je ne savais pas si je devais m’habiller comme pendant mes chasses, ou comme pendant les fêtes ou comme  normalement. J’avais finis par choisir une tenue normale. J’avais mis une robe bordeaux avec  des motifs noirs rappelant légèrement les motifs des rideaux de la renaissance. J’avais mis un collant noir et des bottines noires. Je m’étais, comme toujours, légèrement maquillé, presque pas. J’avais laissé, comme toujours, mes cheveux tomber librement sur mes épaules. J’avais pris un petit sac pour y mettre mes clefs et autres.

J’étais donc devant l’impressionnante de Morangier.  Elle était… impressionnante. Les fêtes qu’on pourrait y faire. J’imaginais  à quel point ça pourrait être génial quand la porte s’ouvrit. Je sursautais légèrement avant de sourire à mon hôte. Je devais être un minimum polie et après tout, la soirée pourrait se révéler sympas. Je fus soulagée quand je vis que le Morangier était habillé d’un polo bleu et d’un jean, pied nu. J’avais choisis la bonne tenue en choisissant de m’habiller normalement. Il se présenta, me vouvoyant. J’arquais, malgré moi, un sourcil en souriant amusée. C’était normal qu’il me vouvoie, étant la pour parler de chasse, mais ça m’avait quand même surprise. Je baissais mon sourcil en souriant normalement.

« De même.  Avez-vous réussis à trouver d’autres chasseurs qui résident en ville ou sommes nous que tout les deux ? »

(Arthur Doyle) ▽ Life is infinity stranger than anything the mind could ivvent

Mon cher Alexandre de Morangier se décala pour me laisser rentrer. Je regardais rapidement autour de moi. Comme le laissais supposé l’extérieur, l’intérieur était impressionnant. Si je connaissais très bien les de Morangier, je dirais digne d’eux. Mais ce n’était pas le cas. Enfin… pour l’instant ! Je pouvais entendre légèrement de la musique, ce qui me fit sourire amusée. Il pensait à tout cet Alexandre ! Il me tendit la main et, comme il le voulait, je posais la mienne sur la sienne. D’habitude, je l’aurai prise, aimant surprendre et embêter, mais ce soir, j’aurai un minimum de bonnes manières pour ne pas me mettre ce chasseur et sa famille à dos.
 
"Nous ne sommes que tout les deux, les autres ne pouvaient se libérer. Si cela ne vous dérange pas nous allons passer directement dans la salle des opérations"


Bonne nouvelle, si je ne pouvais pas m’empêcher de faire ma casse bonbon, je n’aurai pas tout les chasseurs de la ville contre moi ! Faudrait le fêter ! Avec une grosse bouteille de vodka ! Avec de la vodka pomme… Bref. Alexandre me fit passer par un salon immense, une salle à manger tout aussi grande avant de s’arrêter dans une bibliothèque. Non mais sérieusement, cette maison était faite pour faire des fêtes ! Sauf peut être la bibliothèque. On ne voyait que des livres, cachant les murs, et il y avait une cheminé en service… Ok si il fait une fête faut fermait cette pièce là sinon il peut dire adieu à ses livres.
 
Je regardais mon hôte qui était finalement pas mal, me demandant si il avait des tablettes de chocolats, surement vu que c’était un chasseur et vu sa musculature il devait faire beaucoup de sport. Il s’avança en direction d’une rangée de livres et tira un livre. J’essayais de voir lequel c’était, mais je ne réussis pas, déçue. Je devrais apprendre à être moins curieuse… Une fois que je serrai vielle !
 
Je fus qu’à moitié étonnée de voir la bibliothèque s’ouvrir pour dévoiler une porte cachée. C’était classe, certes mais classique. Bon, je n’avais rien à dire vu où je rangeais tout mon équipement.  La porte s’ouvrit alors que de Morangier me fit signe de passer la première, ce que je fis. Il vint après moi. Il s’installa dans un canapé et je fis de même en souriant. Il me proposa quelque chose à boire et je lui répondis que je prendrais bien de la vodka, le remerciant. Il me laissa seule, et je ne pue m’empêcher de regarder autour de moi. C’était une vraie salle d’opération de pro, pas comme ma toute petite pièce ! Alexandre revint et me tendis ma boisson. Je le remerciai et la pris.
 
"Bien je viens juste d'arriver, je ne suis pas trop au courant des choses, avez vous des noms de loups ? Mais surtout l'important est de savoir s’ils ont tué un humain. Je ne tue que les assassins, question de déontologie." Dit-il tout en trinquant avec moi
 
J’arquais un sourcil. Ile ne tue que ceux qui ont déjà tués… ça fait super-héro casse-bonbon. Personnellement, je tuais par habitude, besoin et aussi pour faire disparaitre les loups. Mais bon, chacun sa façon de voir… Je me redressais avant d’avoir bu une gorgée de ma vodka.
 
« Les loups et autres créatures dont j'ai les noms sont déjà mort. Je me suis déjà occupé d'eux. Mais il reste. je pense déjà qu’il y a deux Alphas… au moins. Sans doute un mâle et une femelle car les loups disaient parfois « il » et parfois « elle » en parlant de l’alpha… Mais pour l’instant je n’ai eu que des omégas. Après, je pense aussi qu’il n’y a pas que des loups, qu’il y a d’autres races, mais ça reste à vérifier. Je cherche encore l’identité des deux Alphas potentiels. Je crois qu’au moins un des deux à une meute, et l’autre je l’ignore. »

(Arthur Doyle) ▽ Life is infinity stranger than anything the mind could ivvent

De Morangier finit par s’asseoir, sur le canapé, à côté de moi. Je pouvais légèrement sentir l’odeur de sa boisson, et il était tout possible que, comme moi, c’était de la vodka qui était dans son verre.  Je vis, étonnée, Alexandre se lever et me faire signe de faire de même et le suivre. Il me montra une carte que je scrutai.

"Ici j'ai référencé toutes les attaques d'après les rapports de police de ces deux dernières années. Histoire que l'on puisse établir un périmètre de recherche. J'ai aussi des caméras braquées sur Beacon Hill afin de tout surveiller."


Pas mal… On formait bien les chasseurs chez les de Morangier à ce que je vois… Il était malin ! Je le vis finir son verre de vodka avant de me proposer de re remplir le mien. Je savais que je pouvais finir soule et que l’homme devant moi était malin, mais à quoi bon se méfier ? Je n’avais rien à perdre et j’aimais vivre dangereusement, même si là le danger était à peine présent, et j’aime tellement la vodka… Je le remercie en répondant que ce n’était point de refus.

Je souris amusée quand mon hôte parla de se tutoyer et de l’appeler Alexandre. Je l’attendais celle là. J’aurai pues répondre simplement, que d’accord je l’appelais Alexandre et qu’il pouvait m’appeler Skye, mais je préférai un peu le taquiner !


« D’accord Alex. Appelle-moi Skye alors ! »

Il sourit et je fis de même. Je la vis reporte son attention sur la carte et je me débrouillais pour la retenir avec sa légende. Après tout, c’est lui qui me l’avait montré et ça pouvait servir ! Il n’allait quand même pas m’en vouloir si je l’utilisais plus tard…



"Nous devrions je pense nous associer. Si tu bosses avec moi, avec mon équipement, mes armes, nous serions bien plus efficace non ?"


J’arquais un sourcil. Eh bé, il ne perdait pas de temps le chasseur ! Il ne m’avait même pas encore vu en action qu’il me proposait qu’on s’associe. Il avait de la chance que je sois une assez bonne chasseuse. Il aurait pues tomber sur une chasseuse qui débute juste et qui a reçu presque aucune formation. Alex se retourna pour prendre une balle dans un placard avant de la mettre dans ma main.

"Balle en enrobage d'argent pur, vernis à partir de sorbier et cœur d'if, une balle tueuse. On ne fait pas mieux"


Je regardais, en faisant attention, la balle sous tous ses angles. C’est vrai que c’était la classe, cinq étoile la balle ! Une fois que j’eu inspecté la balle, je la rendis à Alex qui me guida vers son stock d’arme. Il y avait toutes sortes d’armes. Des plus anciennes au plus récentes. Quoi rêvé de mieux quand il rajouta qu’elles étaient de qualité militaire ? Je me retournais vers lui en croisant les bras et en souriant amusée

« Comment puis je refusée cette offre devant un tel stock d’arme de qualité et un chasseur si mignon ? Je suis d’accord ! »

(Arthur Doyle) ▽ Life is infinity stranger than anything the mind could ivvent

Je souris amusée quand je le vis relever la tête en souriant quand je lui dis, d’une certaine façon, que je le trouvais mignon. Il me fixa avant de me regardais de la tête au pied alors que je souriais, amusée par sa réaction, en haussant les sourcils. J’attendais qu’il retourne le compliment comme le ferait un parfait gentleman, qu’il le pense ou pas.

"C'est vrai que tu es très séduisante aussi !"
Il l’avait dit en riant, mais ça me fit quand même plaisir, me foutant si c’était vrai ou faux. Après tout, je savais déjà que je n’étais pas horrible vu que j’avais déjà réussis à draguer pas mal de gars. Et après que je sois « séduisante » ou « très séduisante »… ça aussi je m’en fichais. Je fus étonnée, avant de sourire amusée, quand Alex me déposa un baiser sur la joue en faisant du bruit.

"Si tu as faim j'ai fait à manger. Je crois que j'en ai préparé bien plus que ce qu'on ne pourra jamais manger tout les deux."

Comme réponse, je me contentais tout simplement de hausser les épaules, avant de le suivre dans la salle à manger que j’avais vue en entrant. Je le vis poser la vodka sur la table. Mon amour de vodkaaaaaa… bref. Je pensais que j’avais encore un peu de temps avant de me resservir et de vraiment commencer à être soûle. Nous nous essayâmes à la table alors qu’il servit des spaghettis à la bolognaise. Bon, ce n’était pas la grande classe, mais c’était bon ! Au moins, il n’avait pas fait un de ces plats que les riches adorent, ou prétendent d’adorer, mais qui sont en réalité dégoutants !

"Bien tu fais quoi comme études? Moi je suis prof d'Histoire au lycée, c'est passionnant !"
 
Prof d’histoire ? Ça devait être sa famille qui lui avait payé la maison alors ! Je me retins de grimacer quand il dit que c’était passionnant. Je n’avais jamais vraiment aimé l’histoire… ou les cours tout simplement ! Mais je lui allais pas lui balancer que je trouvais l’histoire complètement rasoir et inutile. J’étais direct, mais pas à ce point !
 
« Eh bien c’est ma première année à l’université. J’étudie, en gros, la littérature. »
 
Même si ça se voyait pas comme ça et que je doute que quelqu’un arrive à la deviner, j’adorais écrire, quand le thème était libre, et y avait quelques petits trucs pas mal dans la littérature…